Legs
Grâce à son réseau de 800 bénévoles, offre un Enseignement à distance personnalisé et gratuit à plus des personnes en grande difficulté ou en détention et leur donne une nouvelle chance de se former en favorisant une insertion ou réinsertion professionnelle.
Les actions de formation réalisées sont particulièrement appréciées et reconnues comme bénéfiques.
Le financement se fait par subventions et perception de la taxe d'apprentissage pour les deux tiers, par les cotisations de ses membres, des dons et legs pour le reste.
Vos dons son déductibles des impôts pour 66% dans la limite de 20% du revenu annuel.
Auxilia, association reconnue d'utilité publique, est habilitée à recevoir tous legs en exonération de droits de succession. Ces legs sont essentiels pour le lancement d'actions nouvelles non couvertes par les ressources habituelles, ou pour pallier à des ressources insuffisantes certaines années. C'est grâce aux legs qu'Auxilia a pu se développer ces dernières années.
Le legs se constate par un acte testamentaire, de préférence notarié. Grâce à des formules d'assurance-vie, le donateur peut se réserver la disponibilité des fonds de son vivant. Ces opérations sont soumises à une autorisation des pouvoirs publics, qui en vérifient la régularité.
En préparant une succession, pensez à cette option.
à télécharger :
À découvrir aussi...
-
Compte rendu de l'assemblée générale 2025
Auxilia, comme chaque année, a tenu son assemblée générale à Nanterre, dans un format hybride permettant ainsi à une trentaine de bénévoles d’être présents, soit physiquement au siège, soit à distance.
Alain Petiot, président, demande à l’assemblée de bien vouloir excuser l’absence d’Alessandra Flahault, directrice associative. Compte tenu de son investissement sans faille, tout au long de l’année, il était légitime de lui permettre de répondre à ses obligations familiales. Bruno Mangane, directeur administratif et financier, présentera le rapport d’activités, complété par Bérangère Eldin, directrice adjointe sur notre action en détention.
-
33 organisations mobilisées face la surpopulation
79 631 personnes enfermées dans les prisons françaises au 1er octobre. C’est 5 300 de plus en un an.
-
Une matinée conviviale de partages autour des points forts 2023 et des perspectives 2024.
